PJLA PILLON

MODE D’EMPLOI:

De quel lâche s’agit-il ? Qui se cache derrière qui ? François Millet le personnage s’arroge outrageusement des pans entiers de l’histoire de P.J.L.A Pillon. Il laisse entendre que les créations, les ouvrages de cet auteur improbable, INQUALIFIABLE, inclassable furent, au minimum, fortement inspirés par lui, PAUVRE CREATURE fantoche, lâche parmi les lâches, pure invention d’un ESPRIT dérangé. Cette délicieuse, ABOMINABLE URSUPATION fascine, perturbe, dérange. De quoi, de qui s’agit-il ? Une biographie romancée, un roman biographé?

Récit de l’enfance d’un homme entre trois et onze ans. Fabrication d’un petit Français par une mère féministe, institutrice qui met en pratique les méthodes d’éducation d’avant-garde de la FABRIQUE DE TARLOUZES qui séviront trente ans plus tard. Présence absente du père, univers exclusivement féminin, enfermement, harcèlement, l’auteur se retrouve, s’inspirant de souvenirs réels, en prise directe avec une MALTRAITANCE occultée.

Aujourd’hui à l’échelle d’un pays tout entier cette tyrannie maternaliste, cette violence déguisée, sournoise, cette dictature pseudo-humanitaire se retrouvent institutionnalisées, pérennisées dans le POUVOIR MATRIARCAL mis en place en France depuis quelques années. Dans ce livre on assiste d’une part à la douloureuse prise de conscience d’anciennes malversations, d’autre part à la dénonciation virulente de la  MANIPULATION mortifère du pouvoir en place aux merdias infantilisants, castrateurs, frustrateurs, spoliateurs.

Le système actuel empêche toute lutte, tout combat, toute contestation,

paralyse les hommes d’un pays qui fut pourtant celui de la liberté, interdit la parole libre.

Les FRANCAIS  émasculés par une mère abusive, culpabilisatrice, Marianne devenue folle, femen hystérique de la wicca luciférienne, égérie putassière des capitalistes, les Français bâillonnés, désespérés, surendettés, licenciés, humiliés, niés, boivent, se suicident, tuent, se droguent, renoncent, capitulent.

Dans ce livre les vitupérations amères, rances, haineuses, nauséabondes, pathétiques, les récriminations répétitives d’un discours violent, monomaniaque du présent contrebalancent l’atroce silence d’autrefois d’un môme maté, réduit à l’impuissance. Avec des allers retours permanents entre présent et passé P.J.L.A Pillon plonge son personnage François Millet alternativement dans les affres d’un autrefois symptomatique préfigurant hélas, les horreurs de notre  servitude contemporaine et dans un présent saturé d’ordres, de mots d’ordre, de slogans, d’aberrations, de scandales, de remplacements. Nous quittons notre héros au moment symbolique de son entrée en sixième. Il échappe enfin au féroce matriarcat. L’auteur achève son ouvrage à un moment historique. Les Français anesthésiés, exaspérés semblent enfin se réveiller ! Le 17 Octobre 2013 au palais de justice de Paris la marseillaise a fait reculer le fanatisme et l’intolérance !